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Revitalisation du centre historique d’Orbec

Une réalisation proposée par la Ville d’Orbec

Bâtiments Conception Économie durable Management et gouvernance Vie locale

Contributeur

Référent :  M. Le Maire, Etienne COOL
Contact : 

Nathalie Desandre, Directrice générale des services : nathalie.desandre@orbec.fr

Descriptif

Orbec souffre, depuis de nombreuses années, d’une désaffection croissante qui se traduit par une décroissance démographique, une dégradation du bâti, une banalisation des espaces publics, une fragilisation des commerces, une dégradation du "vivre ensemble".

Fort de ce constat de cercle vicieux, la collectivité a donc défini un programme ambitieux pour la valorisation de l’espace public, permettant d’agir sur des problématiques essentielles pour le devenir du territoire :

- valorisation du patrimoine protégé à travers un aménagement révélant le potentiel touristique,

- actions structurelles pour améliorer la vitalité et le dynamisme commercial,

- amélioration du milieu de vie pour contribuer à l’attractivité du territoire, et son renouveau démographique,

- anticipation des modifications urbaines à long terme en accompagnant l’action menée sur les friches urbaines.

Le programme comporte plusieurs étapes, chacune comportant des aménagements complémentaires :

- L’aménagement de la place dite de la Poissonnerie,

- 3 parkings qui se situent en amont de la place, de part et d'autre du sens giratoire recalibré, afin de palier à la suppression de places de stationnement sur la place de la Poissonnerie.

- La requalification des 2 rues principales d’accès vers le centre-ville : la rue du G. de Gaulle sur 900M et la rue des Canadiens sur 270M.

La Place de la Poissonnerie constitue l'avant plan, et le premier acte, du centre ancien d'Orbec. A l’’origine principalement dédiée à la circulation véhiculaire et aux stationnements le projet a donné aux piétons la priorité au cœur de l'espace public autant qu’il mettait en lumière le patrimoine architectural remarquable.

Pour résumer :

La circulation véhiculaire a été simplifiée et fluidifiée en offrant une place essentielle aux piétons et cyclistes :

Les stationnements ont été augmentés et reportés en entrée de ville. Réalisés en pentes douces entrecoupés de plantations, ils permettent une bien meilleure accessibilité vers les commerces par leur raccordement direct sur des allées spacieuses. Des terrasses pour les commerçants, un éclairage rénové et conforté, la gestion de l’eau pluviale par un réseau adapté et une longue noue plantée requalifient le fonctionnement de la ville et contribue à améliorer l’image de la ville d’Orbec.

Une maquette de la ville en fonte, reproduisant le plan de la ville a été réalisée par CORNILLE HAVARD FONDERIE de Villedieu-les-Poêles et installée sur le parvis devant le musée d'Orbec.

Le traitement des eaux pluviales par l'installation d'une noue centrale a permis de mettre fin à des inondations récurrentes du point bas de la place dite de la poissonnerie. Les épisodes orageux de l'été́ 2018 ont permis de mesurer l'efficacité́ de la mise en place de ce procédé.

Le volet paysager, réalisé par l'entreprise Saint Martin paysage a contribué́ à mettre en valeur le patrimoine, les aménagements crées, adoucir le coté minéral d'une ville, et faire un lien entre la partie rurale de la ville et son centre-ville.

L'éclairage a été entièrement revu au profit d'un éclairage LED, moins énergivore et respectueux de l'environnement. Un système programmé permet de baisser l'intensité lumineuse dès 23h, réduisant ainsi la pollution lumineuse, et permettant des économies d'énergie. L'effacement des réseaux réalisé en amont des travaux d'aménagement a contribué́ à donner une meilleure lisibilité́ du patrimoine, ainsi mis en valeur.

Thématiques : 
  • Matériaux
  • Rénovation / Réhabilitation
  • Aménagement
  • Espaces publics et espaces verts
  • Paysage
  • Économie sociale et solidaire
  • Consommation responsable
  • Participation citoyenne
  • Culture et loisirs
  • Commerces
  • Dé-mobilité et mobilités actives
  • Renforcement du lien social et de la solidarité
  • Patrimoine
Échelle : 
  • Quartier
  • Territoire
  • Ville

Fiche d'identité

marker  Normandie / Orbec
Type de territoire : 
  • < 20 000 habitants
Surface bâtie :  Tranche 1 – Aménagement de la Place de la Poissonnerie et des abords : chantier en 2018-2019 Surface : 9 550 M2 / Tranche 2 – Aménagement de la rue du G. De Gaulle et de la rue des Canadiens : chantier en 2019-2020 Surface : 15 175 M2 / Tranche 3 – Aménagement de l’hyper-centre et de la rue Grande : chantier en 2021 Surface : 6900 M2 / Tranche 4 – Aménagement des venelles historiques : chantier en 2023 Surface : 7 432 M2
Coût du projet :  Coût total des travaux réalisés et programmés : 4 974 478,95 € HT
Maîtrise d'ouvrage :  Ville d’Orbec
Maîtrise d'oeuvre :  Arc-en-Terre, Paysagistes concepteurs, mandataire du groupement ECR Environnement

Distinctions

Concours / récompenses :  Trophée de l’investissement en 2020 pour la T1 et T2 Victoires du Paysage pour la T1 et T2

Médias

Évaluation du projet*

sur la base du déclaratif du contributeur

Critère n°1 : SOBRIÉTÉ

L’utilisation de matériaux qualitatifs, mais surtout la réutilisation de pavés présents sous les enrobés d’origine ont permis un chantier respectueux de l’environnement. Ces pavés, sont ainsi réutilisés sur les surfaces de parvis historiques.

La rue du G. De Gaulle était constituée d’une voirie ayant une concentration de polluants dans les enrobés particulièrement importante. L’entreprise Eiffage a ainsi proposé une solution de recyclage innovant :

Le procédé́ Recyclean® est né d’un postulat simple : pouvoir proposer une solution technique et économique, adaptée à l’entretien des chaussées polluées, tout en respectant les enjeux environnementaux et sanitaires que les maitres d’ouvrages doivent aujourd’hui prendre en compte.

La construction routière a longtemps eu recours à la mise en œuvre de goudrons, issus de la distillation de la houille. Les goudrons contiennent des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) en quantité́ importantes et sont de ce fait considérés aujourd’hui comme des produits dangereux pour la santé. Ils doivent faire l’objet, lors de travaux d’entretien des chaussées, d’une évacuation en centre de stockage adapté à leur accueil.

Recyclean® est un procédé́ d’encapsulage des polluants de type GOUDRONS/HAP/ HCT au moyen des ateliers de retraitement en place ARC 1000® de l’entreprise EIFFAGE.

Ce procédé́, qui réduit l’emploi de matériaux neufs, permet de valoriser les matériaux pollués in situ en évitant les transports et surcouts de décharge, puis stockage.

Le choix des matériaux utilisés sur l’emprise du projet, en cohérence avec les matériaux déjà en place sur des opérations précédentes permet d’obtenir une cohérence à l’échelle du bourg. Cela évite un effet de mode pour une pérennité assurée.

La réutilisation des ressources locales comme les pavés existants, sous l’enrobé, qui constituaient la structure des chaussées, permet également de conforter l’inscription du projet dans l’environnement existant.

La collectivité a mis un point d’honneur à intervenir sur l’espace public avec l’assurance du bon fonctionnement des réseaux humides souterrains. Ainsi, chaque tranche de travaux pour la requalification de l’espace public a été précédée d’une campagne de renouvellement des réseaux d’eau usée, d’eau potable. Le SDEC (Syndicat d’électrification du Calvados) a été chargé d’enfouir les réseaux secs (Telecom / electrique / fibre) au fur et à mesure de l’avancement des tranches de travaux.

Également, Primagaz, en amont, s’est chargé de raccorder au gaz les riverains demandeurs.

L’ensemble de ces actions permet d’assurer un bonne longévité des surfaces rénovées.

Sur le plan végétal, le projet a élaboré une stratégie développant une palette végétale adaptée et durable, biodiversifiée et colorée. Les services des espaces verts de la commune ont été associés à chaque étape pour assurer un entretien cohérent et adapté au besoin réel des végétaux prescrits à l’issue de l’année de parfait achèvement et de garantie par l’entreprise Saint Martin. Ainsi, le personnel communal bénéficie de l’expérience de l’entreprise.

Les habitants dans le cadre de la re végétalisation des pieds de façades ont été associés au choix et responsabilisés pour le devenir de ces plantations à travers une convention d’entretien qui lie chaque riverain volontaire avec la commune.

Enfin, l’apaisement de l’espace public participe grandement à un usage respectueux des lieux assurant son inscription dans le long terme

Critère n°2 : INCLUSION

L’équipe de maîtrise d’œuvre a débuté le travail de diagnostic du territoire aboutissant à une programmation urbaine ambitieuse à travers un plan guide global à l’échelle du centre historique pour une requalification progressive.

Au cœur de son action pour le réaménagement d’espaces publics, l’agence Arc-en-Terre est désireuse de concevoir des lieux de vie qui trouvent leurs ancrages dans une évaluation du territoire à la portée de tous.

Dans la continuité avec son attachement territorial, l’agence retrouve une profonde satisfaction à agir pour le compte de petites communes qui souvent accordent à l’acteur territorial, une confiance importante pour la transformation et la revitalisation de ces lieux de vie.

La collectivité a choisi de poursuivre le travail avec la même équipe sur les phases successives opérationnelles.

Cette confiance renouvelée témoigne d’un souhait profond d’apporter une cohérence urbaine à la commune. C’est alors l’occasion d’avoir un regard sur des problématiques variables au sein même de ce territoire.

Les étapes conceptuelles ont été ponctuées de comités techniques autour des élus, puis de comités de pilotage qui ont permis de traiter concomitamment des études transversales. Ce dialogue nourri et enrichi par cette transversalité a permis d’aboutir un plan guide fédérateur et cohérent.

C’est dans ce cadre que la participation citoyenne, dès les phases d’analyse et diagnostic, prend tout son sens pour avancer sereinement vers les phases conceptuelles puis opérationnelles.

La mise en œuvre de ce travail se traduit par une alternance d’étapes conceptuelles, de concertation (balade urbaine, diagnostic commercial, réunions publiques régulières de concertation) au sein d’un calendrier tenu par la méthodologie d’élaboration des fiches actions, correspondant à des étapes clés pour mener à bien la faisabilité financière de ce projet.

La revitalisation du centre-bourg historique d’Orbec génère un impact positif pour la valorisation du Pays d’Auge. Cela se mesure déjà avec les retombées sur le commerce, sur l’habitat.

Les retombées sur le commerce :

Le projet a mûri au sein de la collectivité́ avec l’organisation de plusieurs réunions publiques avec les commerçants et les habitants d’Orbec. Un diagnostic rassemblant des groupes de travail en amont du projet a permis de tracer les grandes lignes d’un projet concerté. Entre la 2e et la 3e phase du projet de revitalisation du centre bourg, nous avons organisé́ également un diagnostic en marchant permettant d’associer directement la population.

L’élaboration de ce projet participatif permet alors une meilleure acceptation et compréhension des modifications d’usages qu’engendrent le projet.

Le retour des commerçants est positif : des terrasses supplémentaires et de nouveaux commerces se sont installés sur le secteur rénové́.

Le piéton s’est approprié́ l’espace public (autrefois dédié aux véhicules), le plan en fonte attire les visiteurs comme un point de départ pour les visites d’Orbec.

Opposé à l’implantation d’une nouvelle enseigne commerciale ‘discount’ éloignée au coeur de ville, la collectivité́ a favorisé l’installation d’une enseigne en lieu et place d’une friche commerciale située à proximité́ immédiate du cœur de ville. Une synergie commerciale s’installe alors, les stationnements d’entrée de ville permettent d’accéder à ces 2 entités simultanément.

Les retombées sur l’habitat :

Les habitations alentours ont été́ révélées par la qualification de l’espace public.

Une prise de conscience des habitants a fait naitre une volonté de requalifier certaines façades autant que d’optimiser l’occupation des immeubles. Par exemples la banque, située au cœur de la place, et la pharmacie voisine, ont rénové leurs devantures.

Les habitants sont reconnaissants de ce changement. Ce qui a permis d’appréhender plus sereinement les travaux de la tranche 3 de l’hyper centre finalisée en 2021.

Les habitants ont, depuis la première tranche de travaux, une approche favorable et sont beaucoup plus tolérants à la gêne occasionnée par le chantier. La priorité́ de la commune est de travailler en concertation ouverte, grâce aux moyens de communication (Facebook, application, site) mais également par la participation du maitre d’œuvre et des entreprises en charge de la réalisation et au plus près des riverains lors des travaux sur rues.

Les Perspectives en cours et à venir :

La première partie de la revitalisation du centre historique a été́ réalisée via 2 tranches de travaux comme expliqué ci avant.

Fort du retour positif de la population et des premières retombées, la revitalisation dans le cadre de l’AMI s’est poursuivie en 2021 par la tranche 3. Cette tranche se compose de la partie centrale afin de valoriser l’ensemble des commerces, centrale elle devient le point d’orgue de l’aménagement urbain en prolongeant la place de la Poissonnerie qui était un premier acte.

La tranche 4, en cours de programmation pour les années 2022-2023 s’attachera à :

– valoriser l’ensemble des venelles historiques,

– conforter la convivialité́ des venelles,

– inciter à la découverte du patrimoine architectural remarquable et des chemins d’eau,

La collectivité́, accompagnée par l’agglomération Lisieux Normandie projette, en parallèle de la revitalisation urbaine, de requalifier l’ancien EPMS (Etablissement Médico-social), formant actuellement une friche urbaine en plein cœur du centre-ville. La redynamisation du centre-ville s’accompagnera ainsi de la création d’une maison des services, d’une école de musique, d’une micro-créche, d’hébergements Seniors. L’objectif global de la programmation de la ville d’Orbec est de densifier et de recentrer les activités, de fédérer les habitants par des équipements multigénérationnels, d’intégrer de nouveaux acteurs locaux et de préserver les liens sociaux des plus âgés.

– Objectif opérationnel : mise en service des services – horizon 2025.

Critère n°3 : RÉSILIENCE

Critère n°4 : CRÉATIVITÉ

Pour le regard extérieur, Orbec fait figure de «belle endormie». On en devine les talents, on les découvre au fur et à mesure de la connaissance du bourg.

Mais on reste sur cette impression que ces talents sont aujourd’hui «en friche» :

Les talents inexploités sont autant de leviers à utiliser pour rendre à Orbec cette identité́ forte et dynamique qu’elle a eu par le passé, mais en l’adaptant à l’époque actuelle :

Faire d’Orbec «une cité augeronne du 21ème siècle»

Quels sont ces talents ?

En premier lieu son patrimoine : une architecture de grande qualité́ mais aussi d’une grande diversité́, avec notamment un “grand patrimoine” aujourd’hui désaffecté qui offre un potentiel exceptionnel.

En second lieu son histoire : le bailliage, mais aussi une histoire industrielle liée notamment au textile, qui mérite d’être bien racontée ; sans oublier les grands personnages de l’histoire qui ont laissé la trace de leur passage à Orbec (Debussy qui aurait composé « Jardin sous la Pluie » à Orbec, Lottin de Laval, né à Orbec, à l’origine du procédé de Lottinoplastie pour la reproduction des hiéroglyphes .

En troisième lieu l’Orbiquet, rivière vivante et dynamique, avec ses espaces naturels et ses moulins. Là aussi, faute d’utilisation, c’est un patrimoine qui se dégrade.

En quatrième lieu sa centralité́ commerçante, témoin d’un passé où Orbec était un pôle influent. Elle ne l’est plus, la centralité́ s’est affaiblie mais elle persiste.

En cinquième lieu ses activités : Orbec compte de nombreux employeurs, mais qui interviennent peu dans la dynamique du bourg.

En sixième lieu ses habitants, ses porteurs de projets, ses amoureux du bourg.

Le principe fondateur de cette stratégie va consister à renforcer considérablement l’identité́ propre d’Orbec, à améliorer son image et sa lisibilité́, à agir sur la qualité́ d’accueil du centre bourg.

L’action sur l’espace public permet de révéler ces talents en marquant l’originalité de la commune. Ainsi une maquette en fonte, reproduisant le plan de la ville a été réalisée par Cornille Havard Fonderie de Villedieu les Poêles, cette maquette a été réalisée avec une méthode inspirée de la lottinoplastie.

Cette maquette permet d’introduire le circuit touristique communal à travers la multitude de ruelles historiques.

Les multiples bras d’eau de l’Orbiquet qui traversent la commune permettent de valoriser l’eau en ville le long de ces venelles historiques où la présence de l’eau peut être révélée.

L’intervention sur l’espace public de la ville d’Orbec via un travail programmatique précis permet également de réfléchir à la place de la voiture, la place du piéton en ville. Ainsi une réflexion aboutie à l’échelle de la ville a permis de redéfinir les besoins réels en stationnements ainsi que leurs modalités tout en repensant les flux véhiculaires.

Orbec est ainsi citée en exemple par le CEREMA (centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité, et l’aménagement) pour la méthode employée au sujet de la configuration de la marchabilité du centre ville ainsi que sur la redéfinition des zones de stationnements afin d’obtenir un projet équilibré.

La stratégie de développement du pôle rural d’Orbec doit s’appuyer sur des actions concrètes, structurées et coordonnées.

Collectivité lauréate de l’AMI (appel à manifestation d’intérêt) Centres-Bourgs en 2014, actuellement intégrée au dispositif « Petites villes de demain » , les objectifs du maître d’ouvrage portent sur :

– Étape de programmation : l’élaboration d’un plan guide en 2018 permettant de flécher les actions prioritaires du volet opérationnel,

– Volet opérationnel : la concrétisation successive des fiches actions pourtant sur la requalification générale du centre bourg,

– Inscription de l’action sur l’espace public dans le cadre d’une coordination étroite et fédératrice avec les études transversales portant sur les volets HABITAT / COMMERCES / MOBILITÉ ET ÉQUIPEMENTS / PATRIMOINE

Critère n°5 : POTENTIEL DE RÉPLICABILITÉ

A propos de Solène Martin

Chargée de Mission, Groupe de Travail et Travaux. Étudiante à l’École Urbaine de Sciences Po Paris sur la transition écologique des villes.

A propos de Quentin Guillemot

Animé par les questions climatiques et les autres limites planétaires, Quentin se dirige vers un parcours sur l’aménagement du territoire à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées. Son expérience dans les milieux associatifs, notamment à la Fresque du Climat, l’aident à mieux saisir les enjeux de la bifurcation écologique. Entre sa Haute-Savoie natale et sa ville de cœur, Rennes, où il a gagné en compétence sur les sujets de la mobilité et de l’agriculture durable, il pose aujourd’hui ses valises à Paris pour déployer les ateliers territoriaux de France Villes et territoires Durables dans tout le territoire. 

A propos de Tara Goodwin

Diplômée d’une Licence de l’INALCO (Langues’O) en langue Hindi et bi-cursus Relations internationales – Humanités environnementales, Tara est actuellement étudiante en alternance du Master 2 Relations Internationales et Action à l’Étranger de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses missions chez France Villes et territoires Durables s’inscrivent dans la lignée de ses expériences à l’UNESCO et au Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, contribuant ainsi à son insertion professionnelle dans le domaine de la diplomatie environnementale et de la coopération internationale pour le développement.

A propos d'Isabelana Noguez

Diplômée du Master en Communication Numérique et Analyse de Données à la Sorbonne Nouvelle, Isabelana est une journaliste mexicaine. Elle a travaillé précédemment dans la communication et les relations presse dans le secteur culturel en France et au Mexique. Aujourd’hui, elle s’intéresse aux enjeux écologiques et aux actions et solutions pour préserver l’environnement et la biodiversité.

A propos de Marion Gonzales

Formée aux affaires internationales et européennes entre l’Angleterre et la France dans le cadre d’un double diplôme Sciences-Po Lille / Université du Kent, Marion a débuté sa carrière en plaidoyer et relations institutionnelles des organisations non gouvernementales, dans le secteur du commerce équitable (Label Max Havelaar France). Elle est aujourd’hui responsable de la communication et des affaires internationales de l’association.

A propos de Camille Waintrop-Boyon

Issue des sciences sociales, de l’histoire de l’art et de l’architecture, après diverses expériences dans la gestion de projets culturels et la production audiovisuelle, Camille a travaillé dans la communication au sein du groupe VINCI : depuis les grands projets à l’international jusqu’à La Fabrique de la Cité, think tank dédié à la prospective urbaine.
Carla DONCESCU

Diplômée d’un master 2 en Economie du Développement à Panthéon-Sorbonne, et actuellement en formation alternance du Master 2 Relation Internationale et Action à l’Etranger dans la même Université, c’est à travers ces différents prismes et ses expériences à l’internationale qu’elle approche les problématiques de villes et territoires durables.

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Manon EXBALIN

Diplômée d’un Master en sociologie de la communication, Manon a travaillé précédemment pour Greenpeace, la Mairie de Paris (en particulier pour venir en aide aux étudiants), et le Ministère de la Transition Ecologique (DGALN – Mission Communication).

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Géographe de formation (Université d’Etat de Saint-Pétersbourg), elle a débuté au poste de géographe économiste à l’Académie d’Économie Agricole (Russie), avant de poursuivre sa carrière en France, en tant qu’assistante administrative et comptable (Air Liquide, Association TGV Provence Côte d’Azur, COFHUAT, Groupe Hervé)

A propos de Sébastien Maire

Avant de rejoindre l’équipe FVD, il a occupé plusieurs postes dans la gestion des collectivités locales. Allant d’élu et adjoint au maire de sa ville natale Besançon, chargé des relations universitaires et de la coopération internationale puis Directeur du Développement économique de la Ville de Pantin, pour ensuite être directeur de cabinet à Montreuil où il a notamment piloté la refonte en profondeur du projet urbain vers davantage d’écologie et de développement durable, Il continue son parcours en tant que Haut Responsable de la Résilience de la Ville de Paris.

Il promeut une vision holistique et systémique du développement durable et apporte son expérience/expertise en résilience territoriale et en transition écologique et sociale.
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